
Post-punk, turko-pop, rock indus, musique contemporaine…
ITHAK développe une fusion kaléidosonique aux réminiscences multiples et nargue les frontières, pour voyager dans une musique d’aujourd’hui, libre et enragée. Les textes polyglottes et finement ciselés de Seb el Zin, leurs mélodies inattendues et les grooves incisifs sont la clef de ce maelström organique d’où émerge un son neuf, inclassable et sans fron- tières. On pourrait décrire ITHAK comme la rencontre entre Talking Heads, Pink Floyd, Police et les Young Gods… une bande son parfaite pour ce début de XXIème siècle.
MEMBRES DU GROUPE :
SEB EL ZIN : guitares, saz, ney, voix
STÉPHANE GASQUET : synthétiseurs
ANTOINE VIARD : saxophone baryton
THOMAS BALLARINI : batterie, percussions
ONT ÉGALEMENT PARTAGÉ LE CHEMIN D’ITHAK :
François Sabin (saxophone baryton), Erick Borelva (batterie), David « Daahood » Poirier, Augustin d’Assignies et Stéfanus Vivens (claviers).

« I really love your crazy sounds »
John Zorn
« Very original and quite avant-garde »
Steve Hillage (Gong, System 7…)
« In my whole life as a musician, I’ve never heard anything like this !!!! ITHAK don’t imitate anybody and nobody can imitate them !!! THIS is tomorrow’s music ! Thanks guys, you exploded music’s boundaries… It’s unique »
Felix Sabal-Lecco (drummer – Prince, Jeff Beck, Peter Gabriel, Herbie Hancock…)
« Nice discovery! »
Urban Sax
« Everything is perfect: music, lyrics, visuals! »
Palo Alto
« What can we say… really creative approach with the instruments and outstanding compositions!!! »
Dispositivo Per Il Lancio Obliquo di una Sferetta
« Des rythmiques complexes tripantes, un psychedelisme savant, de la rage, du gros son, Dada, Zappa et de la prose francaise…Je vote ITHAK… »
Chassol
« Forget all you know about music!! Open your ears and your senses!! Here comes a unique and new sound, a psychedelic sonic hurricane, a cosmic-oriental trip, here comes the Freejazz ElectroPunk, Here comes ITHAK!!!! »
Benoit Cholet
« Le phénomène des migrations est une donnée significative de l’époque actuelle, et son incidence musicale demeurera probablement comme un des éléments les plus importants de l’histoire de la musique à la fin du XXe et au début du XXIe siècle. »
Laurent Aubert, Musiques migrantes