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le groupe Ithak sur scène

Ithak est un rêve ancien. Dévorant chaque matin lourdes guitares et gras saxophones, il digère au soleil, se lave aux ruisseaux du monde et en ses villes bataille, gardien des forces telluriques aux armes électriques. Sa voix perfore les gratte-ciels, elle va comme on cherche son île perdue, avec ardeur et patience.

Ithak de gauche à droite :
STÉPHANE GASQUET : synthétiseurs
ANTOINE VIARD : saxophone baryton
THOMAS BALLARINI : batterie, percussions
SEB EL ZIN : guitares, saz, ney, voix

Ont également partagé le chemin d’Ithak :
François Sabin (saxophone baryton), Erick Borelva (batterie), David « Daahood » Poirier, Augustin d’Assignies et Stéfanus Vivens (claviers).

En 2005, Seb El Zin imagine un groupe en forme d’élan syncrétique. Il réunit, à Paris, des musiciens élevés à la sono mondiale. Ensemble, ils forgent de nouveaux alliages puisant aux paysages sans limites ouverts par leur imagination et leurs rencontres. Si bien que, douze ans plus tard, on trouve citées des références tous azimuts à propos de leur musique. Et c’est ce qui plaît à ceux qui aiment Ithak : un groupe-babel avec qui arpenter la ville-monde, des notes à l’effet d’hyperlien, une musique surprenante et familière.

« Le phénomène des migrations est une donnée significative de l’époque actuelle, et son incidence musicale demeurera probablement comme un des éléments les plus importants de l’histoire de la musique à la fin du XXe et au début du XXIe siècle. »
Laurent Aubert, Musiques migrantes,